Ma peluche vivante qui savait si bien me réconforter lorsque j’avais de la peine en sautant sur mes genoux et en se blotissant contre moi.
Sept ans après ton départ, j’ai encore les larmes aux yeux d’avoir été obligée de te faire endormir à cause de la maladie qui t’a paralysée au fil des jours malgré tout notre amour et tous nos soins.
Jamais je n’oublierai le moment où j’ai senti contre moi ton petit coeur s’arrêter.



